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Le Temps du 25 octobre 1892 :
« Un crime affreux vient d'être commis au Glandier, sur la lisière de la forêt de Sainte-Geneviève, au-dessus d'Épinay-sur-Orge, chez le professeur Stangerson. Cette nuit, pendant que le maître travaillait dans son laboratoire, on a tenté d'assassiner Mlle Stangerson, qui reposait dans une chambre attenante à ce laboratoire. »
Le Matin du 26 octobre 1892 :
« Un crime surnaturel.
Voici les seuls détails que nous ayons pu obtenir sur le crime du château du Glandier. L'état de désespoir dans lequel se trouve le professeur Stangerson, l'impossibilité où l'on est de recueillir un quelconque renseignement de la bouche de la victime ont rendu nos investigations et celles de la justice tellement difficiles qu'on ne saurait, à cette heure, se faire la moindre idée de ce qui s'est passé dans la Chambre Jaune. »
La porte de la chambre fermée à clef de l'intérieur,
les volets de l'unique fenêtre fermés, eux aussi, à l'intérieur, pas de cheminée…
Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout,
par où l'assassin a-t-il pu fuir de la chambre jaune?
C'est le jeune reporter Rouletabille, limier surdoué et raisonnant
« par le bon bout de la raison, ce bon bout que l'on reconnaît
à ce que rien ne peut le faire craquer »,
qui va trouver la solution de cet affolant problème,
aux termes d'une enquête fertile en aventures et en rebondissements.
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